Sortie TMS n° 848829
Discussions sur le nerf vague
La sortie
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Intitulé | Discussions sur le nerf vague |
Date | Mercredi 11 juin 2025 20:00 |
Heure max d'inscriptionLimite inscription | 1 heure avant (jusqu'au 11/06 à 19:00) |
Durée prévisible | Environ 2 heures |
Places |
6 places (actuellement 3 inscrits)
Sortie suivie par 4 personnes |
Lieu de l'activité | LORIENT (56) |
Type de sortie | Bien-être |
Sortie gratuite ? | Non |
Enfants acceptés ? | Sortie sans enfants |
Liste complémentaire acceptée ?Liste compl. acceptée ? | NON |
Accessible PMR ? | Ne sait pas |
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Non |
Organisatrice
Présentation de la sortie
Je vous propose de se rencontrer pour échanger sur le nerf vague au bar de l Embarcadère qui est un bar à visée sociale où chacun est invité à prendre une consommation
C l'occasion de découvrir ce lieu
L'envie de vous proposer ce sujet d échanges est née suite à la diffusion d une émission intitulée le nerf vague dialogue entre le cœur et le cerveau diffusée sur Arte et toujours accessible en rediffusion
Rediffusion accessible aussi sur YouTube
J aurais voulu mettre le lien ici et je n arrive pas à l insérer ici et au niveau des photos ????
Nous pourrions échanger à partir de tout ce qui a été expliqué dans cette émission et aussi avec ce que vous connaissez
Je vous donne ici quelques informations données par Wikipedia :
Le nerf vague est le nerf crânien dont le territoire est le plus étendu (d'où son nom). C'est un nerf mixte qui convoie des informations motrices, sensitives, sensorielles et surtout végétatives parasympathiques.
Au sein du système parasympathique, il constitue la principale innervation efférente du cœur. En 1921, Otto Loewi a, le premier, mis en évidence la transmission synaptique en montrant que la stimulation du nerf vague entraînait une sécrétion d'acétylcholine qui induisait un ralentissement de la fréquence cardiaque.
Le nerf vague est plus généralement une voie importante de la viscéromotricité des appareils cardiovasculaire, trachéobronchopulmonaire et digestif ainsi que de la régulation des sécrétions des glandes surrénales, du pancréas, de la thyroïde, des glandes endocriniennes et du système digestif. Il transmet aussi des informations viscérosensitives (notamment la pression sanguine aortique).
Sur le plan moteur, il innerve les muscles élévateurs du voile du palais et certains muscles constricteurs du pharynx et du larynx. Il assure aussi la transmission de la sensibilité somatique du pharynx, du larynx et de l'épiglotte ainsi qu'une partie des informations gustatives.
Le nerf vague est le nerf crânien dont le territoire est le plus étendu (d'où son nom). C'est un nerf mixte qui convoie des informations motrices, sensitives, sensorielles et surtout végétatives parasympathiques.
Au sein du système parasympathique, il constitue la principale innervation efférente du cœur. En 1921, Otto Loewi a, le premier, mis en évidence la transmission synaptique en montrant que la stimulation du nerf vague entraînait une sécrétion d'acétylcholine qui induisait un ralentissement de la fréquence cardiaque.
Le nerf vague est plus généralement une voie importante de la viscéromotricité des appareils cardiovasculaire, trachéobronchopulmonaire et digestif ainsi que de la régulation des sécrétions des glandes surrénales, du pancréas, de la thyroïde, des glandes endocriniennes et du système digestif. Il transmet aussi des informations viscérosensitives (notamment la pression sanguine aortique).
Sur le plan moteur, il innerve les muscles élévateurs du voile du palais et certains muscles constricteurs du pharynx et du larynx. Il assure aussi la transmission de la sensibilité somatique du pharynx, du larynx et de l'épiglotte ainsi qu'une partie des informations gustatives.
La théorie polyvagale (en), développée par le psychologue américain Stephen Porges (en) à partir de1994, conceptualise les relations entre le système nerveux autonome, les émotions et le comportement social et propose une explication des mécanismes impliqués lorsque l’organisme rencontre une menace. Cette théorie considère que le nerf vague joue un rôle central au sein du système nerveux autonome dans la régulation de la réponse au stress et dans la compréhension des comportements sociaux[5].
Selon la théorie polyvagale, le système nerveux autonome se divise en trois parties distinctes, chacune associée à des comportements et des émotions spécifiques. Ces trois systèmes seraient le système nerveux végétatif dorsal, le système nerveux végétatif ventral et le système nerveux somatique. Chacun de ces systèmes jouerait un rôle distinct en réponse aux situations de stress et à l'environnement social.
- Le circuit vagal ventral, principalement soutenu par le nerf vague, favoriserait les états de sécurité et de confiance. Il est associé aux interactions sociales, à la régulation affiliative et à la digestion[6].
- Le système nerveux sympathique (SNS), souvent considéré comme l’accélérateur, préparerait le corps à réagir face aux menaces.
- Le circuit vagal dorsal, qui intervient lorsque les autres systèmes sont inefficaces, peut perturber l’homéostasie.
La détection des signaux de sécurité et de danger se fait en grande partie en dehors de notre conscience, via un processus que cette théorie appele neuroception. Elle intègre les signaux internes et externes pour coordonner nos réponses somatiques, affectives et autonomes. Les signaux physiques et chimiques provenant des cavités thoracique, abdominale et pelvienne sont transmis au cerveau via les voies afférentes. Ces signaux interoceptifs façonnent nos sensations viscérales, nos émotions et nos comportements liés à la sécurité. Face aux menaces, notre corps active d’abord les systèmes les plus jeunes et métaboliquement efficaces. Si ces systèmes sont jugés inefficaces, les fonctions plus anciennes et perturbatrices entrent en jeu. Les états de sécurité favorisent les interactions sociales, l’ingestion et un état physiologique calme. En revanche, les états de menace déclenchent des stratégies défensives qui perturbent la digestion et l’engagement social.
Cette théorie accorde donc beaucoup d’'importance au système nerveux autonome dans la régulation des émotions et du comportement social, et elle sert de base pour proposer des modes d’actions dans de nombreux domaines, y compris la psychologie clinique, la neurobiologie, la psychiatrie et les études sur le traumatisme. Elle est utilisée pour mieux comprendre les troubles liés au stress et aux traumatismes, ainsi que pour développer des approches de traitement qui prétendent s’appuyer sur la physiologie du système nerveux autonome.
La théorie polyvagale suscite des débats au sein de la communauté scientifique, certains mettant en avant la nécessité de recherches supplémentaires pour valider ses concepts.
Les membres qui s'inscrivent à la sortie s'engagent quant à eux à respecter la charte des participants.
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